Notes
Tilly (de), Gabriel
Bâtard d'Harcourt, légitimé par lettres de janvier 1527, à cause de ses services.
Armes : "d'azur à deux fasces d'or".
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Harpedanne de Belleville, Jean ( °après 1411 - )
Chambellan de Charles VII, Seigneur de Montaigu, Cosnac et Mirambeau en Saintonge & Belleville en Poitou.
Charles VII lui accorda le droit de porter les armes de France brisées d'une barre d'or.
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France (de), Marguerite ( °1409 Paris (75) - avant janvier 1458 )
Elle fut légitimée par lettres de son demi-frère le Roi Charles VII données à Montrichard en janvier 1427.
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Harpedanne de Belleville, Jean ( °1369 Fontenay-le-Comte (85) - vers 1434 )
Montaigu (85), Montendre (17), Belleville (85).
Chambellan de Charles VI.
Il suivit son oncle maternel Olivier de Clisson pour prendre part à l'expédition du Duc de Bourbon dans les états barbaresques : il assista au siège d'Afrique ou Mouhédia en Tunisie. Il se querella avec les seigneurs de son voisinage, et notamment avec le tristement célèbre Gilles de Rais.
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Montaut (de), Jeanne ( °vers 1380 - )
O'Gilvy, dans son "Nobiliaire de Guyenne et Gascogne" en 4 volumes, la donne comme mère de Jean III de Harpedanne-Belleville.
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Banu Asad, "Kadidja" bint Khuwaylid ( °vers 556 - 619 )
Mahomet, pour gagner sa vie, deviendra caravanier; il entrera ainsi au service de Khadidja, riche veuve qui possède les caravanes les plus importantes de La Mecque, qu'il épousera vers 595. (plus âgée que lui d'une quinzaine d'années.) De cette union naîtront plusieurs enfants : seules ses quatre filles survivront
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Hauteville (de), Robert Guiscard dit l'Avisé ( °vers 1020 Hauteville la Guichard (50) - 17 juillet 1085 Céphalonie, Grèce )
Il conquier une grande partie de la Calabre en 1050-1055, puis s'empare du comté des Pouilles à la mort de son frère Onfroy, comté pour lequel il devient vassal du pape (Après des relations très conflictuelles).
En 1071 il prend Bari et achève la conquête par les normands du territoire bysantin dans la péninsule italienne. Il aide aussi son frère Roger à conquérir la Sicile.
En 1084, lorsque le pape fait appel à lui, Rome est pillée par les normands.
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Hauteville (de), "Roger" Ier ( °1031 - 22 juin 1101 Mileto (Italie) )
A partir de 1061, il s'empare de la Sicile avec l'aide de son frère Robert : Palerme est prise en 1072, Syracuse en 1086, et la conquête sur les musulmans s'achève non sans mal en 1091.
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Hauteville (de), Tancrède ( °vers 985 - 1041 )
Petit seigneur du Cotentin. Ses fils Guillaume, Dreux et Onfroi se mettent au service des Bysantins vers 1030-1040.
Ils les quittent pour piller puis occuper la Pouille (1041-1042). Robert Guiscard opère en Calabre. Roger s'empare de la Sicile. Sacrée famille !
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Hélie de Pompadour, François ( °29 avril 1490 - 29 septembre 1534 )
Vicomte de Comborn, Baron de Bré, Treignac & Laurière, Seigneur de Saint-Cyr la Roche, Beaumont, Chanac, Noailles & Coseigneur d'Allassac, Gentilhomme de la Chambre du Roi, Chevalier de ses Ordres et Chambellan de François Ier.
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La Marche (de), Constance ( °vers 1340 - après 1399 )
Attestée en 1379 : cette famille serait d'origine bretonne car Constance à cette date demande à être remise en possession de ses terres bretonnes et poitevine.
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Hessen (von), Philippe dit le Magnanime × Saale (de), Marguerite (04 mars 1540 château Rotenburg, Allemagne)
Mariage :
mariage morganatique et sans sans que Philippe soit divorcé de Christine [toléré par l'église luthérienne de l'époque]
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Hohenstaufen (de), Frédéric-Roger ( °26 décembre 1194 Iesi (Italie) - 13 décembre 1250 Fiorentino, Pouilles, Italie )
Excommunié par Grégoire IX puis par Innocent IV.
Personnalité originale, disciple d'Averroes, il fut un matérialiste et un sceptique, et s'intéressa aux Arts, Lettres & Sciences.
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Lancia (de), Blanche ( - 1234 )
Frédéric l'épousa en 1233/1234, juste avant qu'elle mourût, ce qui légitima leurs enfants à posteriori.
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Paynel, "Foulques" II ( °vers 1160 - 1230 )
Il perd ses terres en Angleterre, qui sont données à son cousin Hugues II Paynel, seigneur de West-Rasen.
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Huchet de La Bédoyère, Jean ( °1495 - 23 avril 1550 )
Parut à une montre de l'évêché de Saint-Malo, en 1539, avec deux archers, ce qui indique des revenus importants (300 à 400 livres).
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Meulan (de), Raoul ( °vers 1350 - 1385 )
Seigneur de Bernières, de Molley-Bacon, de Lyons, de Blason, de Champ-Servon, de Chemillé, du Quesnay, de Ducey, de Sermentot, de Saint-Ceneri.
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Byzance (de), Basile dit il Macedone ( °818 Adrianople, act Edirne, Turquie - 29 août 886 )
Il usurpe le trône de Michel III, qu'il avait couronné le 26 avril 866 et fera assassiner le 23 septembre 867.
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Capet, Robert dit le Pieux ( °27 mars 972 Orléans (45) - 20 juillet 1031 Melun (77) )
Associé dès 987 à la royauté, il est couronné le vendredi 30 décembre 987 à Sainte-Croix d'Orléans, six mois après son père.
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Amboise (d'), "Hugues" VI ( °vers 1345 - 25 octobre 1415 Azincourt (62) )
Participa auprès de Bertrand Duguesclin, son cousin, aux sièges d'Ardres et de Balinghem et mourut avec son fils aîné à la bataille d'Azincourt.
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Joinville (de), Pierre ( °vers 1255 - après 1302 )
Fait partie des "rebelles" s'opposant à Besançon, le 29 mars 1295, à la cession de la comté de Bourgogne par Othon IV de Chalon au roi de France, Philippe le Bel.
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Joriaux, "Edouard" Louis François ( °19 mars 1815 Lisieux (14) - 24 octobre 1877 Paris (75002) )
Registre décès mairie du 2ème arr. 1877 acte 878
Le Didot-Bottin de 1870 le dit Négociant : Nouveautés en gros, 39 rue du Sentier et 14 rue St Fiacre à Paris (75) Propriétaire de "Ernest Joriaux et Cie".
Habitait Pierrefitte. Possède une fortune de 9 Millions ! Fait 20 millions de chiffre d'affaires, Bienfaiteur des pauvres et bienfaiteur de l'église. A financé la restauration de l'église de Bonne Nouvelle après la Commune.
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La Marthonie (de), Gaston ( °vers 1535 - )
Chevalier de l'Ordre du Roi.
Seigneur de La Marthonie, Bruzac, Milhac, Chasselard-Saint-Paul & La Roche près de Thiviers.
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Saint-Didier (de), Thiburge ( °vers 1355 - 1395 )
Dans son contrat de mariage du 26 mai 1379, il est précisé que Louis de Joyeuse et ses descendants devraient écarteler leurs armes (Châteauneuf Randon : au chef chargé de trois hydres d'or) de celles de Saint-Didier (d'azur au lion d'argent, à la bordure de gueules chargée d'une fleur de lys d'or).
Note roglo-P.Ract Madoux (Gustave de Burdin: "Documents historiques sur la province de Gévaudan" Toulouse 1846) 18 iv 2006
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Mesgouëz (de), Troïllus ( °vers 1540 manoir de La Roche-Coatarmoal, Plouzévédé (29) - 1606 )
Page et favori de la Reine Catherine de Médicis en 1550. Président de la noblesse aux Etats de Nantes en 1574. Gouverneur de Saint-Lô et de Carentan en 1597.
Kermoalec, en Saint-Thomas-de-Landerneau. Coëtarmoal, en Plouzévédé. La Roche-Helgomarc'h, en Saint-Thoix.
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Grolée (de), Jean ( °vers 1330 - après février 1373 )
Jean de Groslée, bailli de Mâcon, fait hommage pour Juis le 24 février 1373 à Humbert VII de Thoire-Villars.
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Kergroadez (de), François ( - 1617 )
François III, seigneur de Kergroadez, Kerver, Kerangoumar, Kerozech, Keromnès, La Villeneufve, Kergven, baron de Kerlech, seigneur de Kerozal, Lanrinou, Campir, Pontanbleiz, Guernisac, Kerbihan, Coetilez et autres lieux, chevalier de l'ordre du Roy, Royaliste pendant la ligue.
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Quélen (de), Gilette ( - 30 mars 1641 Morlaix (29) )
Héritière de Guernisac, dame de Guernisac, de Kerouhan, de Porziou, de Saint-Lohoua, de La Boissière, de Villengrach et du Mescam.
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Lezormel (de), Adrien ( °21 décembre 1600 Plestin-les-Grèves (22) - 07 octobre 1624 Plestin-les-Grèves (22) )
Tué en duel sur la Lieue de Grève à Plestin, en 1624, par François de Coëtlogon, seigneur de La Gaudinaye.
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Kerloaguen (de), Guillemette
Alain de Penmarc'h, son beau-frère, lui rétrocéda la terre de Coëtlestremeur en 1526 en échange du domaine de Quicangroigne à Saint-Brieuc.
Henri III de Penmarc'h et Guillemette de Kerloaguen "parent au quart degré". Empêchement qui ne fut régularisé "après consommation" qu'en octobre 1522 par autorisation du Pape Adrien VI et dispenses de l'évêque de Léon du 9 février 1523 (B.Yeurc'h/BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92)
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Penmarc'h (de), Henri ( °1484 - 1527 )
né en 1481 et mort en 1529 selon B.Yeurc'h (H&G 1997 n°143 pages 193-194). né en 1484 et mort en 1527 selon B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92).
Sous tutelle de son oncle Louis de Penmarc'h chanoine de Saint-Brieuc, puis sous tutelle de son oncle Christophe de Penmarc'h évêque de Saint-Brieuc jusqu'à la mort de ce dernier.
Le 24/11/1520, il abandonnait, sous réserve d'usufruit, tous ses biens entre les mains de ses 2 filles Mauricette et Margilie. Une information est ouvert contre lui, qui le déclare prodigue et lui donne pour curatrice sa femme Guillemette de Kerloaguen.
Henri III de Penmarc'h et Guillemette de Kerloaguen "parent au quart degré". Empêchement qui ne fut régularisé "après consommation" qu'en octobre 1522 par autorisation du Pape Adrien VI et dispenses de l'évêque de Léon du 9 février 1523 (B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92))
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Kernevenoy (de), François ( °01 octobre 1519 - 16 avril 1571 Paris (75) )
Armes : "d'argent à trois faces, accompagné de dix merlettes, le tout de sable".
Le Boisriou, en Trévou-Tréguignec (22).
Sa veuve achète plusieurs hotels dans Paris, dont notamment en 1578 l'hotel Ligneris qui sera connu comme l'hôtel de Carnavalet, le musée actuel.
Ce François de Kernevenoy ou Carnavalet, dit M. G. de Carné, dans ses Chevaliers bretons de Saint-Michel, était sr. de Kernevenoy, de Carnavalet, de Grisy et Nogent-sur-Seine, conseiller du Roi (Henri II), en son conseil privé, gentilhomme ordinaire de sa chambre ayant rang de chambellan, premier écuyer de Sa Majesté, gouverneur d'Anjou, de Bourbonnois et de Forez, gouverneur du duc d'Anjou, depuis Henri III, chef de son conseil, surintendant de sa maison et lieutenant de sa compagnie de 100 hommes d'armes, et chevalier de l'ordre du Roi, le 7 décembre 1561. François de Carnavalet, ajoute le même auteur, s'éleva par son seul mérite... Né en 1519, il se conduisit dès sa jeunesse et s'acquitta si discrètement et si " sagement " de ses diverses charges, que le roi Henri II le désigna, avant de mourir, pour gouverneur du duc d'Anjou... Après s'être conduit vaillamment à la bataille de Moncontour, en 1569, où la première charge fut exécutée par cinquante gentilshommes composant la cornette blanche en avant du dauphin (le duc d'Anjou, son ancien élève), sous les ordres de M. de Carnavalet, la mort arrêta ce dernier, deux ans après, en 1571 ; le 18 avril, il fut inhumé à Saint-Germain-l'Auxerrois, où le chancelier de Chiverny lui fit élever, avec une épitaphe composée par lui, un tombeau qui sera à jamais un glorieux monument de ses vertus... Cette épitaphe, qui commençait par ces mots : " Francisco Carneveneo ", fut la cause probable d'une erreur assez curieuse, que Dom Morice lui-même contribua à accréditer. Lorsque François de Carnavalet mourut, il laissait un fils, Charles, mort lui-même sans alliance ; mais les Kernevenoy ne s'éteignirent pas en sa personne. Il existait des branches colatérales qui, par un oubli inexplicable, ne se prévalurent pas, lors de la réformation de noblesse, du souvenir de celui qui pourtant jetait un grand lustre sur la famille. Tandis que la maison de Kernevenoy laissait ainsi perdre sa tradition, la famille de Carné, induite en erreur par ce nom de Carneveneo inscrit dans l'épitaphe, crut reconnaître le tombeau de Saint-Germain-l'Auxerrois pour celui de François de Carné, sr. de Crémeur. En conséquence, en 1657, le chef de cette maison, Jean Urbain... fit prendre copie de l'épitaphe de François de Kernevenoy, en foi de quoi, en 1668, les commissaires de la réformation, trouvant cette preuve suffisante, donnèrent une place dans l'arrêt qu'ils rendirent en faveur de Jean-Urbain de Carné, à François de Carné, frère puîné de Jérôme, et gouverneur du fils d'Henri II... Peu de temps avant l'année où Dom Morice, à l'exemple de tous les généalogistes, reproduisit cette erreur, la terre de Carnavalet avait passé de la maison d'Acigné dans celle de Carné, circonstance qui la rend plus spécieuse, et la vérité plus difficile à découvrir en transférant à l'une des branches de la maison de Carné, qui le porte encore, ce nom de Carnavalet » (Chevaliers bretons de Saint-Michel, p. 198 et suiv.)
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Keroüartz (de), "Jacques" Louis François Marie Toussaint ( °25 août 1761 Morlaix (29) - 25 février 1844 Guingamp (29) )
Il émigra sous la révolution et ses biens seront séquestrés et vendus. Il faisait partie de la réserve lors de l'expédition de Quiberon en 1795.
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Rohan (de), Isaac ( °1614 - après 21 janvier 1669 église des Jacobins, Guérande (44) )
les Rohan-Chabot et les Soubise, se lamentant de voir cette branche des Rohan ne pas pouvoir tenir convenablement son rang, lui intentèrent un procès en batardise : ce fut un soulèvement général dans toute la Bretagne en faveur du seigneur du Poulduc.
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Bellingant (de), "Anne" Renée Josèphe ( °18 novembre 1705 Lannilis (29) - 08 février 1791 )
Il ressort de la plupart des pièces qu'après le décès de son époux, elle etait demeurée avec ses enfants mineurs en son hôtel de Tréguier selon B.Yeurc'h (BSAF, Les seigneurs de Penmarc'h en Saint-Frégant, 1930, p. 52-92)
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Kersauson (de), Jacques ( °25 octobre 1671 Lanhouarneau (29) - 15 novembre 1743 Paris (75) )
Fonda à Plougouven sur le bien de sa mère une maison de sÅ“urs du St-Esprit, dites sÅ“urs blanches, son hôtel et sa charge de conseiller furent vendus 46500 £ en 1738.
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Kersauson (de), Coetanscours ( °vers 1715 - )
Il joua un rôle important dans l'affaire de Bretagne pour son attitude violemment hostile au duc d'Aiguillon.
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Kernevenoy (de), François ( °01 octobre 1519 - 16 avril 1571 Paris (75) )
Armes : "d'argent à trois faces, accompagné de dix merlettes, le tout de sable".
Le Boisriou, en Trévou-Tréguignec (22).
Sa veuve achète plusieurs hotels dans Paris, dont notamment en 1578 l'hotel Ligneris qui sera connu comme l'hôtel de Carnavalet, le musée actuel.
Ce François de Kernevenoy ou Carnavalet, dit M. G. de Carné, dans ses Chevaliers bretons de Saint-Michel, était sr. de Kernevenoy, de Carnavalet, de Grisy et Nogent-sur-Seine, conseiller du Roi (Henri II), en son conseil privé, gentilhomme ordinaire de sa chambre ayant rang de chambellan, premier écuyer de Sa Majesté, gouverneur d'Anjou, de Bourbonnois et de Forez, gouverneur du duc d'Anjou, depuis Henri III, chef de son conseil, surintendant de sa maison et lieutenant de sa compagnie de 100 hommes d'armes, et chevalier de l'ordre du Roi, le 7 décembre 1561. François de Carnavalet, ajoute le même auteur, s'éleva par son seul mérite... Né en 1519, il se conduisit dès sa jeunesse et s'acquitta si discrètement et si " sagement " de ses diverses charges, que le roi Henri II le désigna, avant de mourir, pour gouverneur du duc d'Anjou... Après s'être conduit vaillamment à la bataille de Moncontour, en 1569, où la première charge fut exécutée par cinquante gentilshommes composant la cornette blanche en avant du dauphin (le duc d'Anjou, son ancien élève), sous les ordres de M. de Carnavalet, la mort arrêta ce dernier, deux ans après, en 1571 ; le 18 avril, il fut inhumé à Saint-Germain-l'Auxerrois, où le chancelier de Chiverny lui fit élever, avec une épitaphe composée par lui, un tombeau qui sera à jamais un glorieux monument de ses vertus... Cette épitaphe, qui commençait par ces mots : " Francisco Carneveneo ", fut la cause probable d'une erreur assez curieuse, que Dom Morice lui-même contribua à accréditer. Lorsque François de Carnavalet mourut, il laissait un fils, Charles, mort lui-même sans alliance ; mais les Kernevenoy ne s'éteignirent pas en sa personne. Il existait des branches colatérales qui, par un oubli inexplicable, ne se prévalurent pas, lors de la réformation de noblesse, du souvenir de celui qui pourtant jetait un grand lustre sur la famille. Tandis que la maison de Kernevenoy laissait ainsi perdre sa tradition, la famille de Carné, induite en erreur par ce nom de Carneveneo inscrit dans l'épitaphe, crut reconnaître le tombeau de Saint-Germain-l'Auxerrois pour celui de François de Carné, sr. de Crémeur. En conséquence, en 1657, le chef de cette maison, Jean Urbain... fit prendre copie de l'épitaphe de François de Kernevenoy, en foi de quoi, en 1668, les commissaires de la réformation, trouvant cette preuve suffisante, donnèrent une place dans l'arrêt qu'ils rendirent en faveur de Jean-Urbain de Carné, à François de Carné, frère puîné de Jérôme, et gouverneur du fils d'Henri II... Peu de temps avant l'année où Dom Morice, à l'exemple de tous les généalogistes, reproduisit cette erreur, la terre de Carnavalet avait passé de la maison d'Acigné dans celle de Carné, circonstance qui la rend plus spécieuse, et la vérité plus difficile à découvrir en transférant à l'une des branches de la maison de Carné, qui le porte encore, ce nom de Carnavalet » (Chevaliers bretons de Saint-Michel, p. 198 et suiv.)
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Barbezières (de), "Jean" II ( °vers 1470 - après 1514 )
Député de la noblesse d'Angoumois, il assista en cette qualité à la rédaction de la coutume de cette province, en 1514.
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Chazeron (de), "Jacques" II ( °vers 1447 - )
Chevalier. Sgr. de Châtel-Guyon, Vollore, Montguerlhe, Seychalles, Pionsat, et Montfaucon.
Acquit, vers 1480, de Gilbert de La Fayette, chevalier, la seigneurie de Pionsat, et le 24 avril 1493, d'Antoine de Bueil, chevalier, cte de Sancerre, celle de Montfaucon, pour la somme de 1 300 écus d'or; il fut échanson du roi, puis son chambellan et premier maître d'hôtel et chevalier de son Ordre.
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Laczinska, Marie ( °1789 - 11 décembre 1817 )
A Varsovie, en 1807, Napoléon tombe amoureux d'une aristocrate polonaise, la comtesse Walewska. Elle lui donne un fils, Alexandre, et lui reste fidèle et dévouée jusqu'à l'exil.A l'âge de 18 ans, Marie Laczinska épouse le comte Athénase Walewski, de très loin son aîné, dont elle a un fils en 1805. Deux ans plus tard, en janvier 1807, elle fait la connaissance de l'Empereur des Français. La comtesse Walewska a relaté leur rencontre dans son journal : «Napoléon ôta son chapeau, se pencha vers moi, je ne sais ce qu'il me dit alors car j'étais trop pressée de lui exprimer ce dont j'étais pénétrée : «Soyez le bienvenu, mille fois le bienvenu sur notre terre ! Rien de ce que nous ferons ne rendra d'une manière assez énergique ni les sentiments d'admiration que nous portons à votre personne ni le plaisir que nous avons à vous voir fouler le sol de cette patrie qui vous attend pour se relever !»
(...) Napoléon me regardait attentivement et prit un bouquet qui se trouvait dans la voiture et, me le présentant, dit : «Gardez-le comme garant de mes bonnes intentions, nous nous reverrons à Varsovie, je l'espère, et je recevrai un merci de votre belle bouche ! »
L'Empereur la remarque à nouveau lors d'une de ces fêtes somptueuses données par la noblesse polonaise. ll n'a de cesse de la revoir. A 22 ans, Marie Walewska, blonde, les yeux bleus, attise les passions. Les amis patriotes de la comtesse la poussent à devenir sa maîtresse, ce qu'elle commence par refuser. Mais elle cède finalement dans l'espoir d'amener l'Empereur à un traitement équitable de la Pologne.
«Son caractère charmait l'empereur, et la lui faisait chérir tous les jours davantage», raconte Constant Wairy. Leur liaison est passionnée. Pendant ce temps, Joséphine se morfond à Mayence.
L'idylle cesse provisoirement lorsque Napoléon prend le commandement de son armée pour la campagne d'Eylau. Le 4 mai 1810, Marie Walewska donne un fils à Napoléon, Alexandre Walewski .
La comtesse polonaise demeure fidèle au souvenir de Napoléon jusqu'à son exil à Sainte-Hélène. Elle demeure dans l'ombre, n'apparaissant que dans les moments pénibles. Elle vient discrètement à l'île d'Elbe pour réconforter l'Empereur en disgrâce.
En septembre 1816, elle épouse un cousin éloigné, le comte Philippe-Antoine d'Ornano. Elle meurt des suites de ses couches en 1817. Son coeur est placé dans la crypte de la famille d'Ornano au cimetière du Père Lachaise, à Paris, et son corps est ramené en Pologne.
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Beaumanoir (de), Jacques ( - 1569 )
vicomte du Besso et de Merdrignac, seigneur de Jugon, de Sevignac et de La Motte du Parc, échanson du roi de France, gentilhomme ordinaire de la chambre du dauphin.
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Durat (de), Jean ( °vers 1446 - après octobre 1516 )
Capitaine du château de Semur (1510), capitaine du château d'Auzance (1513), capitaine d'Aigueperse (1516)
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Lalande (de), Jean ( °vers 1409 - après 1463 Angleterre )
Baron de Lalande, La Brède, L'Isle-Saint-Georges, Langoiran, Seigneur de Castres, Beautiran, Saint-Médard-d'Eyrans (33), etc...
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Tehillac (de), Jeanne ( - vers 1438 )
Unique héritière de la première maison de Tehillac, éteinte en 1428, son fils François de La Lande releva le nom et prit les armes des Tehillac, d'où la seconde maison de Tehillac.
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La Marche (de), Almodis ( °vers 1020 - 17 novembre 1075 )
Répudiée par ses deux premiers maris.
Assassinée (le 17 Novembre 1075 ou le 16 Octobre 1071 ?) par son beau-fils Pierre-Raymond de Barcelone.
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Lusignan (de), "Hugues" V dit le Débonnaire ( °après 1015 - 08 octobre 1060 )
Guerroya contre Guillaume VIII d'Aquitaine au sujet du comté de la Marche, vers 1040. Fut attaqué par le comte de Poitou et tué aux portes du château de Lusignan en 1060.
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Lameth (de), Alfred ( °17 mars 1783 Paris (75), église Saint-Sulpice - mai 1809 Goze, Oliviera, Portugal )
Mort au champ d'Honneur à Goze près d'Oliviera Portugal pendant la guerre d'Espagne le 12/04 ou le 31/05/1809, inhumé au champ de bataille.
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Rosmadec (de), "Sébastien" Ier ( °1566 - 14 septembre 1613 )
Le baron de Molac eut le malheur de perdre le roi, son maître et son bienfaiteur, dont il attendait encore le grade de maréchal de France, qu'il lui avait promis au rendez-vous général de l'armée, et qui le destinait aussi pour l'un des quatre par l'avis desquels le duc de Vendôme devait gouverner. Le chagrin que le baron conçut de cette mort, doublement sensible par la manière tragique dont elle arriva, ses fatigues de la guerre et ses blessures le conduisirent au tombeau, le 14 septembre 1613. Avant de mourir, il recommanda à ses enfants la crainte de Dieu, le service du roi et la parfaite union et amitié entre eux. Son corps fut déposé dans l'église des Carmes à Rennes, et, au bout de 40 jours, on lui fit un service magnifique, après lequel on le transporta à Pontcroix. (in "Chevaliers bretons de Saint-Michel" de Gaston de Carné)
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Laneyrie, Louis Joseph ( °04 octobre 1807 Chaintré (71) - 03 mars 1874 Forbes, NSW, Australie )
Marchand de vin et tonnelier en 1841. Part pour la Californie en 1849 (ruée vers l'or). Le 5 juin 1853, venant de San Francisco débarque en Australie, à Sarah Moers/Port Jackson, New South Wales. Le 23 octobre 1862, est naturalisé Australien, réside à Forbes, NSW, et est "mercantile clerk" (greffier de commerce ?).
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Urfé (d'), Jehan dit Le Paillart ( °vers 1435 - avant 1503 )
Vers 1476, les terres de Louis II de Courcelles mort sans héritier furent confisquées par le roi Louis XI qui les donna à son capitaine Jean d'Urfé, seconde époux d'Isabeau de Langeac
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Coëtredrez (de), Hervé ( °vers 1325 - vers 1389 )
veuf de Jeanne de Keranrais, marié en secondes noces a Margilie de Lanmeur veuve du Seigneur de Coatelan
Il epousa en secondes noces Margilie de Lanmeur a condition que les enfants qui naitraient du nouveau mariage prendraient le nom de Boiséon. (le tout selon B.Yeurc'h)
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la Noue (de), "Charles",Marie,Adolphe ( °06 mars 1843 Saint-Brieuc (22) - 13 juillet 1908 château des Aubiers, Hillion (22) )
zouave pontifical en 1867, puis dans la Légion de Charette en 1870, chevalier, puis commandeur de l'Ordre pontifical de Saint-Grégoire-le-Grand, chevalier de l'Ordre de Pie IX, député des Côtes du Nord, élu en 1888, 1889, 1893
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La Personne (de), Jean ( - 19 décembre 1404 Amiens (80) )
Seigneur d'Acy, de Didonne, de Montendre et de Fouras, seigneur de Tilloy-en-Thiérache (17 mai 1394), seigneur de Chaulnes et de Puzeaux (28 juillet 1394)
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Mailly (de), Françoise ( °30 août 1688 - 11 septembre 1742 Versailles (78) )
Elle était d'après ses contemporains belle comme un amour et eut plusieurs amants dont le marquis de Nangis, Louis Armand de Brichanteau. Elle aurait même déniaisé le jeune roi Louis XV.
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La Rivière (de), Charles-François ( °1646 - 1726 )
Seigneur de Kersaudy, de Rauffray, de Saint-Michel, de Kerioudy, du Disquay, de La Villeneuve et de La Touche-Crapado, colonel de l'arrière ban de Saint-Brieuc, a servi en Flandre en 1677 et en Allemagne en 1673, aide de camp de M. le comte de Guiche
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La Rivière (de), Geffroy ( - après 1425 )
"reçut Eon son frère à homme et juveigneur de la terre de Kernonen en 1415
le duc lui accorda en 1420 permission d'ajouter un 4ème poste à sa justice de La Rivière et de Kersaudy et rendit aveu au duc de ladite terre de la Rivière et de Kersaudy, et ses dépendances en juveigneurie au seigneur de Rohan en 1425 comme seigneur de Mur et de Corlay" B.Yeurc'h
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La Rivière (de), "Henry" ou Jean ( - après 1452 )
"mentionné dans la Réformation de 1427, rendit pareil aveu avec son père en juveignerie de Rohan en 1452"
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La Roche-Andry (de), Jean ( °après 1411 - après 1468 )
Seigneur de La Roche-Andry, Clam & Jonzac (17).
Il relève avec son fils le château, démoli en 1415-1416 par Guillaume de Barbazan, capitaine de Charles VII.
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La Rochefoucauld (de), François ( °vers 1450 - après 1528 )
Conseiller et Chambellan des rois de France Charles VIII et Louis XII, parrain de François de Valois-Angoulême (qui deviendra roi de France sous le nom de François Ier. C'est à lui que l'on doit l'arrivée de ce prénom dans le lignage capétien.) Chambellan du roi de France François Ier, qui éleva sa baronnie de La Rochefoucauld en Comté en 1528 avec Marthon, Blanzac, Montignac, Verteuil, Saint-Laurent de Ceris et Cellefrouin
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La Rochefoucauld (de), Marguerite ( °vers 1430 - après 1487 )
Dame de Barbezieux (17), Vertueil (16), Blénac, Mussidan(24), Montendre (17), Montguyon (17), Roissac & Coiron.
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Lasteyrie du Saillant (de), Guy ( °vers 1315 - 25 octobre 1379 Montpellier (34) )
Seigneur de Saillant (Voutezac, 19). Il acheta le Saillant en 1344 au Vicomte de Comborn. Il fut assassiné par la foule.
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Lastours (de), "Golfier" V ( °vers 1291 - 1354 )
Puîné.
Possible : les sources se contredisent au sujet de son ascendance ; celle-ci n'est donc que l'une des versions possibles, reposant sur "Les Lastours en Limousin de l'An Mil à la Renaissance" de Christian Rémy, "Généalogies & Lignages" de B. Barrière et le Saint-Allais. Une autre possibilité, contradictoire, pouvant être trouvée dans "Généalogie de la Maison d'Hautefort" (1898).
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Venier, Francisque ( - avant 1595 )
Noble italien, se disant "descendant des doges de Venise", sieur de La Salle en Fresnay (44), gouverneur de Machecoul, Intendant des affaires du Duc de Retz.
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La Tour Châtillon (de), Antoine ( °vers 1330 - 1405 )
Chevalier. Sgr. du lieu, Irlains, Vinstarnens, Arcenciel en Suisse. Teste à l'Abbergement le 22 janvier 1402.
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La Mark (de), Charlotte ( °1574 - 15 mai 1594 )
Unique héritière du duché de Bouillon après la mort de ses 2 frères, elle transmet à sa mort le duché à son époux.
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Ricard de Genouillac, Pierre ( °vers 1390 - après 1429 )
Seigneur de Ginouillac & Coseigneur de Gourdon en 1421.
Mentionné sur une quittance du 6 novembre 1421 ainsi que 19 autres écuyers du Quercy. En 1424 Il fait partie des seigneurs qui négocient une trève entre la Ville de Cahors et le capitaine anglais de Domme, Jean de Beauchamps.
En 1429, Il est avec Jeanne d'Arc à la levée du siège d'Orléans.
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Bérenger, Raimbaud ( °vers 1165 - vers 1250 )
Eut en partage la terre de St Nazaire en Royans, Oriol, St Martin le Colonel, Hostun, une part de Musan.
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La Tour du Pin (de), "Humbert" II ( °vers novembre 1312 - 22 mai 1355 Clermont-Ferrand (63) )
Fonde l'université de Grenoble le 12 mai 1339 avec l'accord du pape Benoît XII
Se démet du Dauphiné, par un traité du 31 mars 1349, entre les mains du roi Philippe VI qui en investit son petit-fils (le futur Charles V) le 16 juillet suivant, puis rentre dans les ordres.
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Soyécourt (de), Gilles dit le Teigneux ( - 26 août 1346 bataille de Crécy (80) )
Seigneur de Soyecourt, de Moüy, de Franvillers, d'Houdainville, de Cuvilly, de Sermoises et de Torcy en Ternois
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Laudun (de), Guillaume ( °vers 1272 château de Laudun (30) - 27 juin 1353 Avignon (84) )
Fait construire une grande église dans sa ville d'origine, Laudun et y fonde quatre chapellenies.
Devenu aveugle, Guillaume démissionne de ses fonctions épiscopales au début de 1345 et se retire au couvent des Dominicains d'Avignon.
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Rohan (de), "Jean" II ( °vers 1460 - 1517 )
Tregallet, ou Trégalet, en Plonéour. Henleix, par Saint-Nazaire.
lieutenant d'une compagnie de 50 hommes d'armes sous le commandement du Maréchal de Rieux, capitaine de la ville de Dinan. il dissipa la plupart de ses biens et sa descendance eut bien du mal à tenir son rang.
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Laval (de), "Guy" XIV ( °1408 - 02 septembre 1486 Châteaubriant (44) )
Baron de Vitré, de la Roche-Bernard, de Châteaubriant Seigneur de Monttfort, de Gaël, de Brécilien (Brocéliande), d'Iffendic, de Talensac, de Monterfil, de Bédée, de Hédé, de Camors, de Frinaudour, de Quemper-Guézonnec, de Saint-Michel, du Vieux-Marché, de Quimerc'h, de Pluvigner, d'Ararquebihen, de Moréac, de Merdrignac, de Bécherel, de Tinténiac, de Châtillon, de Marcillé, du Gâvre, d'Ancenis, d'Aubigné, de Chevré, de Mézières, de Nozay, de Montafilan, de Beaumanoir.
Compagnon de Jeanne d'Arc.
Armes : "d'or, à la croix de gueules chargée de cinq coquilles d'argent et cantonnée de seize alérions d'azur".
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Dinan (de), Françoise ( °29 novembre 1436 Trémuson (22r) - 03 janvier 1499 Nantes (44) )
Jacques de Dinan-Montafilant qui fut compagnon d'armes de Jeanne d'Arc,avait épousé Catherine de Rohan. De cette union naquit une fille, Francoise, née au manoir de la Roche-Suhart, paroisse de Trémuson, le 20 novembre 1436. En elle s'éteindra la maison de Dinan- Montafilant. Françoise de Dinan défraya la chronique dans la deuxième moitié du XVe siècle.
Enlevée par Gilles de Bretagne, frère du duc Francois 1, à l'âge de 8 ans, elle devait être la cause indirecte des malheurs de ce jeune prince.
Devenue ensuite en 1451 l'épouse de Guy XIV de Laval, un veuf avec enfants ayant un fils, le sire de Gavre que Francoise désirait pour mari, plutôt que le père, elle fut désignée plus tard par le duc Francois II pour être gouvernante de ses deux filles, Anne et Isabeau.
La comtesse de Laval pouvait assumer un tel rôle par sa culture étendue, mais c'était aussi une intrigante, attentive à ses intérêts et ceux de sa famille. Elle joua un rôle important dans les manoeuvres matrimoniales touchant la jeune duchesse.
Elle tenta de la marier son frère utérin, Alain d'Albret, un soudard frisant la cinquantaine, veuf de Francoise de Blois-Penthièvre, très laid, père de sept enfants légitimes et d'une ribambelle de bâtards.
La jeune duchesse de 12 ans ne manquait pas heureusement de caractère. Elle déclara qu'elle entrerait plutôt au couvent que de consentir un tel mariage.
La gouvernante et ses compères tenaient d'autres soupirants en réserve, car la dot était belle. Maximilien d'Autriche, veuf de Marie de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire, avait 31 ans.
Il portait pour lors le titre de roi des Romains et la couronne de l'Empire devait lui choir. Il fut agréé. C'était un parti reluisant qui ne laissa pas la princesse insensible.
Un mariage par procuration se fit à Rennes le 19 décembre 1490 en présence de Francoise de Dinan, du maréchal de Rieux, autre tuteur d'Anne de Bretagne, et des envoyés du roi des Romains parmi lesquels le comte de Nassau, et Wolfang seigneur de Polhain.
Une cérémonie qui nous paraît ridicule, mais conforme aux moeurs de l'époque, eut lieu. On coucha la petite duchesse, et le procurateur de Maximilien le beau Polhain comme on l'appelait, introduisit sa jambe nue dans le lit de la mariée pour symboliser l'union.
On en plaisanta à la Cour de France où l'on estima qu'il était temps d'intervenir et de préparer la solution logique qui s'imposait. La duchesse Anne épousera Charles VIII au château de Langeais le 6 décembre 1491.
Cette fois Francoise de Dinan avait pesé de toute son influence en faveur de ce mariage. Pendant la guerre qui précéda cet heureux dénouement, les Francais incendièrent Montafilant par haine de l'intrigante comtesse.
Guy XIV de Laval mourut le 2 septembre 1486, à Châteaubriant. Sa veuve épousa en troisièmes noces Jehan de Proisy, gentilhomme de Picardie. Francoise de Dinan mourut à Nantes, le 3 janvier 1499,
et fut inhumée dans le choeur de l'église des Frères Prêcheurs de cette ville, dans le tombeau d'Isabelle de Bretagne première femme de Guy XIV.
La seigneurie de Montafilant passa à Francois de Laval, du second mariage de sa mère. Il épousa Françoise de Rieux et mourut à Amboise le 5 janvier 1503, laissant pour héritier un fils ainé, Jean de Laval.
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La Valette (de), Fortuné ( °vers 1400 - après 1445 )
Seigneur de Cuzoul en Rouergue, Saint-Igne et des Oliviers, Coseigneur de Ginouillac, capitaine-Chapelain du château de Clermont.
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La Valette-Parisot (de), "Bernard" Ier ( °1312 Malleville (12) - vers 1382 Malleville (12) )
Attesté en 1381 où il fait un codicille de son testament.
Né Valette, anobli ainsi que son fils Pierre en mars 1382.
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La Vallée (de), Bertrane ( - 1618 )
Aînée de six filles, laissa pour héritage les seigneuries de Saint-Jouan, du Ros (paroisse de Concoret) et de la Bouyère, celle-ci s'étendant sur la plus grande partie de la paroisse de Quedillac avant le 01/05/1618.
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Beaumarchais (de), "Eustachie" ou Marie ( °vers 1282 - )
Possible. La filiation avec ses parents reste à vérifier.
ou Bernarde de Chilly in Lamant : s'agit-il de 2 épouses distinctes, et dans ce cas, quelle est la mère des 3enfants ?
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Lavieu (de), Dauphine ( °vers 1225 - 1287 Macon (71) )
Le 6 mars 1276 elle renouvela la donation faite par elle au château de Miribel à Sibylle sa fille du 2ème lit épouse d'Amédée V de SAVOIE.
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Le Bihan, Jacques Claude "Toussaint" ( °1712 - 1787 )
Fit l'école des pages du roi, Petite Ecurie 1729, enseigne au régiment des gardes françaises à sa sortie, puis en 1744 lieutenent en garnison au camp de Fribourg, major de la capitainerie garde-côtes de Saint-Pol de Léon en 1755, puis celle de Morlaix en 1757, lieutenent colonel d'infanterie à sa retraite.
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N, Thomasse ( - avant avril 1264 )
Légue à sa mort à l'abbaye de Melleray une rente de 20 sous à prendre sur les revenus de sa terre de la Billière en Saint-Herblon.
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Le Loup, "Jacques" II ( °vers 1440 - )
Chevalier. Sgr. de Beauvoir, Montfan, Saulcet, Mérinchal, Eygurande, Chavanon, Saint-Marcel, Préchonnet et Varennes.
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Le Manceau, Hugues ( °vers 1085 - 1139 Decize (58) )
Aventurier, il s'empara du Chateau de Cosne
Mort prisonnier dans une tour du château de Decize.
Source : Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de Hervé IV...de Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977).
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Kergroadez (de), René ( - vers 17 décembre 1666 Garlan (29) )
Page de la chambre du roi Louis XIII. Marquis de Kergroadez par héritage de sa nièce, Françoise-René.
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Lemoyne de Vernon, Louis ( °30 octobre 1720 Dunières (43) - 27 novembre 1806 Dunières (43) )
Lemoyne de Vernon : originaires de Normandie.
Convoqué à l'Assemblée de la Noblesse de Velay de 1789
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Parroye (de), Jeanne ( °après 1326 - après 1356 )
Possible. La filiation avec ses parents reste à vérifier.
Certaines sources donnent André de Parroye et Palice de Puligny.
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Léon (de), "Guiomarch" II ( °vers 1045 - 1103 )
Participant à la conquête de l'Angleterre avec Guillaume le Conquérant, il eut la terre d'Ask et d'autres terres dans les comtés de Richmond, dont il fut le sénéchal, et d'Essex.
Fit le voyage de la Terre-sainte, où il fut fait prisonnier.
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Léon (de), "Hervé" II dit le Grand ( °vers 1110 - 21 juillet 1169 )
La vicomté de Léon retrouve sa souveraineté et redevient comté ?
Selon Frottier : "comte de Léon par la grace de Dieu, en 1135 et 1155, fit la guerre en Angleterre au profit d'Etienne de Champagne son beau-pere, en 1135, prit le parti d'Eudon de Penthievre contre le Duc Conan, en 1155 et confirma la fondation du prieuré de St Melaine de Morlaix.
Mourut en 1169, épouse ----- fille d'Etienne Comte de Champagne, roi d'Angleterre et de Mathilde fille et seule héritiere d'Eustache II comte de boulogne et de Mary d'Ecosse."
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Blois (de), Sybille ( °vers 1115 - )
La filiation avec ses parents reste à vérifier.
B.Yeurc'h la dit fille d'Etienne de Champagne, mais cite également "Peut-etre fille d'Etienne II ca 1061-1127, comte d'Aumale", alors qu'Auréjac retient cette dernière hypothèse.
Selon http://www.dcs.hull.ac.uk/cgi-bin/gedlkup/n=royal?royal01397, elle est la fille (illégitime ?) d'Etienne de Blois, roi d'Angleterre, fils d'Etienne, comte de Champagne.
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Léon (de), Hamon ( °vers 1131 - 1171 )
selon Tresvaux "L'église de Bretagne" publié en 1839, ratifie les privilèges accordés par son père à l'abbaye de Saint-Matthieu (en Plougonvelin) le 10.07.1157, évêque de Léon en 1161, déclare la guerre à son frère en 1170 et décéde le 25.01.1171
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Léon (de), Wiomarch ( - 826 )
mort en 826 (selon B.Yeurc'h).
tué en 824 par Lambert Comte des Marches de Poitou (B.Yeurc'h/Dom Morice).
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Brancion (de), Henri ( °vers 1220 - vers 1262 )
Ruiné par les Croisades, il vendit Uxelles, Aigny, Brancion, Beaumont, La Perrière en 1259 au duc de Bourgogne (H&G 1979, p.13)
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Le Portier de Marigny, "Enguerrand" III ( °vers 1265 Lyons-la-Forêt (27) - 30 avril 1315 Paris (75) )
Il a été l'un le plus fidèle conseiller financier de Philippe le Bel, mais suite à des hausses de prix, les nobles se révoltent. Louis X le Hutin opte pour la négociation et fait habilement porter la responsabilité de la situation sur Enguerrand de Marigny : il est exécuté et sa dépouille est accrochée au gibet de Montfaucon à Paris en 1315 ... et y restera pendant 2 ans ! Après la mort de Louis X, sa mémoire sera réhabilitée et il sera dignement inhumé. En 1475, le roi Louis XI élève même un mausolée sur son tombeau, qui sera profané à la Révolution.
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Vendôme (de), Bouchard ( °vers 950 - 26 juillet 1012 )
Il se retire en 1005 au Monastère Saint-Maur des Fossés.
Décès : 26 février 1007 ou 26 Juillet 1012.
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Orange (d'), Madeleine ( °29 juin 1639 Capesterre, Guadeloupe (971) - 25 janvier 1716 Le Prêcheur (97) )
Elle se distingua dans la défense de St-Pierre en juillet 1667, au cours de laquelle fut tué son premier mari, Jean Valence :
"L'on remarqua dans ces combats une chose assez rare pour occuper icy une place ; C'est qu'une femme, nommée Magdelaine Dorange, dont le mari faisoit l'office de canonnier à la batterie de Saint-Sébastien où estoit le Gouverneur, y tint ferme pendant tous les combats, fournissant courageusement les cartouches, les boulets et toutes les choses nécessaires aux canons, sans s'estonner aucunement du fracas et du massacre que faisoit le canon des ennemis et sans jamais baisser la teste pour les milliers de boulets qui passoient par dessus."
Du Tertre "Histoire Générale des Antilles" Réédition Société d'Histoire de la Martinique 1959 T4, p264.
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Penguern (de), Jehanne ( - après 1507 )
Voir acte de 1507 au dossier 1E549/68 aux A.D.29, qui doit être un partage entre Aliénor et sa soeur aînée (pratiquement illisible).
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L'Estendard, Guillaume ( °après 1235 - 1308 )
Controversé : H&G n°81.251 donne à Guillaume pour parents Gallet de Beynes et N. de Brie-Comte-Robert, et comme grands-parents Robert de Beynes et N. de Neauphle (voir ces noms).
Maréchal de Naples, Vice-Roi de Sicile en 1301, Porte-Etendard de Charles d'Anjou au Bénévent, Pro-sénateur à Rome en 1281.
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Le Vassor de La Touche Tréville, Louis-René ( °03 juin 1745 Rochefort (17) - 19 août 1804 Toulon (83) )
Entre dans la marine à 16 ans, capitaine en 1772, commandant en 1778, Commandant de L'Hermione au début de la guerre d'indépendance des Etats-Unis, il transporte La Fayette parti soutenir les insurgés, puis se bat victorieusement sous les ordres de La Pérouse au large de Terre-Neuve, enfin il participe au combat devant Yorktown qui signe la défaite des Anglais.
Député de la noblesse en 1789, Vice-amiral en 1792, puis amiral sous le nom de La Touche-Tréville, commandant en chef de l'escadre de la Méditerranée à la fin de 1803,il devient inspecteur des côtes de la Méditerranée en 1804.
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Meslay (de), Hugues ( °vers 1190 - 28 février 1227 )
2ème fils.
Attesté en 1183, 1210 & 1219.
Il participe à la Croisade contre les Albigeois.
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Le Vicomte, Guyon ( - avant 1548 )
Se porte noble et possède à la réformation de 1535 la "maison et métairie" de la Ville-Vollette en Yffignac et la "maison et métairie du Rumen" en Cohiniac.
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